Dura lex sed lex

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Ayant peu de temps libre ces derniers jours, le billet d’aujourd’hui sera peu développé. Je vous propose juste de vous plonger dans des lectures, ne pouvant développer davantage.

source.

Voici donc quelques liens relatifs à la loi sur le renseignement, approuvée avec un score soviétique,

et ses avatars dans le monde.

Notre amie la NSA a un logiciel de retranscription des conversations téléphoniques. Ce qui met à mal une précédente déclaration de l’agence aux termes de laquelle elle expliquait qu’il était inutile de capter massivement des conversations téléphoniques, puisqu’il était impossible de les écouter toutes…

Comment se prémunir de la surveillance massive ? En essayant ceci peut-être.

Ou faire confiance à Google qui déclare vouloir chiffrer davantage ? Le même Google qui, soit dit en passant, cherche à devenir collecteur d’impôt.

Puisque nous parlons de la loi, allons-y, une petite critique en passant.

Pour conclure, un des pontes du chiffrement, Phil Zimmermann, à l’origine de PGP, se réfugie et s’en va en Suisse Chaque société dystopique a une surveillance excessive, mais à présent nous voyons même des démocraties occidentales comme les États-Unis et l’Angleterre aller dans ce sens. Nous devons revenir en arrière. Les gens qui ne sont pas suspects d’avoir commis des crimes ne devraient pas avoir des informations collectées et stockées dans une base de données. Nous ne voulons pas devenir comme la Corée du Nord.

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