Été
Voici le billet mensuel sans thème bien précis, regroupant tout ce qui est inclassable ou serait l’occasion de trop nombreux petits billets. L’été, temps idéal pour se poser et se livrer à la réflexion.
Voici le billet mensuel sans thème bien précis, regroupant tout ce qui est inclassable ou serait l’occasion de trop nombreux petits billets. L’été, temps idéal pour se poser et se livrer à la réflexion.
Vous vous en êtes rendu compte ne lisant mes précédents billets, les données risquent de devenir une nouvelle informatique orpheline. Peu de monde y réfléchit sérieusement, la majorité étant attirée par les pantagruéliques profits financiers qu’on peut réaliser avec elles.
Parce qu’en mai, fais ce qu’il te plaît, je ne résiste pas à l’idée de vous envoyer quelques pavés… à lire et déguster sur des thèmes dont j’ai déjà parlé.
J’en avais parlé, il me faut tenir parole sans que le délai entre l’annonce et la publication soit trop long. Je vais vous livrer quelques remarques tirées du livre « la souveraineté numérique » de Pierre Bellanger.
Je l’avais écouté lors des RIAM’S à Paris, et ce qu’il avait dit de son livre m’avait donné envie d’en savoir plus. Je me le suis donc procuré ici.
La récente lecture (aujourd’hui) d’un article de l’association Vecam (à lire ici) a stimulé ma réflexion sur la question des données privées et publiques. Si le problème me semble correctement posé comment dénouer le lien entre production, analyse de données de masse d’une part, et logique de surveillance de l’autre, je ne suis pas l’auteur dans ses conclusions.
Mon précédent billet relatif à l’open data évoquait la protection des données personnelles. Dans la mesure où dès que ce sujet est évoqué, la distinction données publiques/données privées apparaît, il me semble utile de fouiller davantage la question.
La classification des informations est indispensable si l’entreprise veut économiser des soucis de plusieurs ordres : accès à ses informations, réputation. Une récente affaire canadienne le prouve.
McAfee vient de publier son rapport sur le paysage des menaces du 4° trimestre 2013. Consultable en ligne ici on y trouve des remarques intéressantes, d’autres un peu plus classiques.