Sandra Bullock
Décidément, plus rien ne tourne rond dans ce blog !
Après un article sur le foot, un autre sur Sandra Bullock !
Suspendez votre ire un instant, et voyons de quoi il retourne exactement.
Décidément, plus rien ne tourne rond dans ce blog !
Après un article sur le foot, un autre sur Sandra Bullock !
Suspendez votre ire un instant, et voyons de quoi il retourne exactement.
Contrairement aux prévisions, décembre est doux. Ce n’est pas pour cela que le blog s’est ralenti, la charge de travail par ailleurs étant assez conséquente. En prévision des soirées longues et froides, et à défaut de faire aussi bien que ce très beau poème de Victor Hugo, je vous livre quelques liens intéressants. Bientôt (je l’espère), je pourrai vous livrer une suite de billets traitant des algorithmes.
Après les attentats qui ont eu lieu vendredi à Paris, une question peut surgir à l’esprit. Puisque le califat répand sa propagande sur la toile, puisqu’il existe un cybercalifat qui a revendiqué l’attaque contre TV5 monde, peut-il s’en prendre au cyberespace afin d’y semer, là aussi, le chaos, voire la terreur ?
Il y a des crimes de guerre, imprescriptibles, et il y a des crimes dans le cyber, prescrits à la vitesse de la lumière. Nous ne reviendrons pas sur la prescription, déjà évoquée il y a quelques temps, mais nous nous arrêterons aujourd’hui des crimes de cyber.
La nouvelle loi sur le renseignement a vaguement passionné les foules qui ont pu l’oublier avec le piratage (sans précédent !) de TV5 Monde. Parce que le sujet ne peut être évacué par une belle posture du style il n’y a pas d’alternative, revenons-y.
La fin de l’année approche à grands pas, c’est le moment d’en souhaiter une meilleure que celle qui vient de s’écouler. Que pourrions-nous espérer de bon pour 2015 ?
Dans le précédent billet, nous avons vu quelques éléments d’ensemble sur ce qui restera comme « l’affaire Sony ». Rétrécissons la focale pour nous concentrer maintenant sur l’entreprise elle-même, quelque peu oubliée.
La récupération de données chez Sony a suscité une forte émotion, artistico-politique. D’un manière un peu étonnante, le discours est monté en flèche, suscitant même d’étonnantes alliances.
Encore une fois, une n-ième alerte a été lancée. Ou plutôt, un n-ième constat a été refait. De quoi s’agit-il ?
Tout simplement de l’affaire Darkhotel qui, selon Kaspersky, ne serait toujours pas finie. Son origine étant estimée à 2010, cela ferait donc 4 ans que des bandits récupèrent tout ce qui transite via les WiFi des hôtels.
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